Une exposition Andy Warhol exceptionnelle, retraçant la carrière de l'artiste sur plus de 40 ans. Peintures, sculptures, dessins, films, imprimés...
La sculpture hyperréaliste à La Boverie avec plus de 60 oeuvres de Duane Hanson, John DeAndrea, George Segal, Carole Feuerman, Ron Mueck...
Riche de plus de 300 oeuvres issues de collections privées, le MUDIA ambitionne de faire découvrir l'art autrement
Une exposition exceptionnelle réunissant les plus grands noms de l'art moderne
Une exposition high-tech sur la visualisation de données au Mundaneum dans le cadre de Mons 2015
Vernissage de Renaissance 2.0 - Voyage aux origines du web au Mundaneum, Mons
Vernissage de Renaissance 2.0 en compagnie du 1er Ministre au Mundaneum, Mons
Sortie du Transdigital Cookbook #3, publication consacrée aux rapports arts/sciences/technologie
Somptueux buffet inspiré par les natures mortes lors du vernissage de l'exposition Délices d'artistes à l'Alimentarium de Vevey
Vinton Cerf est l'inventeur d'Internet et actuel vice-président de Google.
Sortie du livre 10 ans de numérique à Mons/10 digital years in Mons consacré au développement des industries créatives et numériques dans la région
L'exposition Délices d'artistes se tient en ce moment à l'Alimentarium de Vevey, sur les bords du lac de Genève.
L'Alimentarium est un musée de l'alimentation dépendant de Nestlé situé à Vevey en Suisse. S'y tient en ce moment une exposition sur l'imaginaire des artistes dépeignant la nourriture.
L'exposition Délices d'artistes fait la part belle aux installations multimédia. La réalité augmentée permet de voir des choses invisibles normalement à l'oeil du visiteur.
Une exposition exceptionnelle autour du célèbre marchand d'art Paul Rosenberg. Du 2 mars au 23 juillet 2017.
Présentation de l'opinion CCMI/CESE sur le programme Creative Europe à Bucharest
En ces temps de Biennale, Damien Hirst, l’enfant terrible de l’art contemporain britannique a orchestré à Venise un retour fracassant sur le devant de la scène. La star des Young British Artists, actifs dans les années 80-90, dévoile une exposition spectaculaire qui se tient simultanément au Palazzo Grassi et à la Punta della Dogana. Un régal pour les yeux.
L’exposition consacrée en ce moment par le S.M.A.K. à l’artiste franco-algérien Kader Attia donne à voir une sélection restreinte de ses œuvres, une dizaine tout au plus, mais qui n’en demeure pas moins essentielle pour autant par la pertinence des questions qu’elle soulève. Sous le titre « Réparer l’invisible », Kader Attia interroge avec pudeur et émotion, les lignes de fracture et les blessures qui saillent encore de l’histoire et de la mémoire des peuples soumis au traumatisme colonial.
Le Zentrum für Kunst und Medientechnologie (ZKM) à Karlsruhe propose en ce moment une belle rétrospective d’Aldo Tambellini (né en 1930), pionnier italo-américain de l’art intermédiatique. La manifestation, intitulée Black Matters, si elle se veut un écho aux mouvements actuels de protestations noirs américains contre les violences policières et la ségrégation raciale aux USA, est aussi, plus fondamentalement, une référence aux origines même de l’œuvre de l’artiste pour qui le noir a toujours été une source d’inspiration et le pivot autour duquel gravite toute sa recherche plastique.
Le 15 mai prochain, Quai 22, à Namur, propose une double exposition articulée autour d’œuvres récentes et inédites d’Aurélie Bayet et de Valérie Mottet, deux jeunes plasticiennes hennuyères dont les univers respectifs profitent de ce dialogue impromptu.
Multidisciplinaire, le travail de l’artiste suisse Ugo Rondinone l’est à n’en pas douter : ce touche-à-tout s’est essayé à la peinture, la sculpture, le travail graphique, la sculpture, la vidéo et le son. Depuis une vingtaine d’années, il explore les frontières toujours plus ténues entre les disciplines et définit de nouvelles pratiques. L’exposition thank you silence présentée au Musée M de Louvain (jusqu’au 6 octobre) fait toutefois la part belle à ses œuvres sculptées, des séries récentes pour la plupart, disposées à la manière d’installations qu’on dirait conçues in situ, tant elles semblent naturellement habiter l’espace du musée.
Dans la torpeur de l’été romain, le touriste cherchant un oasis de fraicheur sera bien inspiré de gravir les imposantes marches de la Galerie Nationale d’Art Moderne, beau bâtiment hérité de l’Exposition Internationale de Rome, érigé en 1911 pour célébrer le cinquantenaire de l’Unité italienne. Dès les origines, les collections ont poursuivi un double but : faire le lien avec le passé en rassemblant de nombreuses œuvres d’artistes italiens et en les mettant en dialogue avec les grands mouvements d’avant-garde internationaux mais aussi montrer la vitalité de la scène artistique contemporaine. Dans cet esprit, le musée présente durant tout l’été (et ce jusqu’au 6 octobre), une belle exposition de l’une des figures clé de la scène artistique contemporaine italienne : Emilio Isgrò, modello Italia (2013-1964)
L’exposition Babel, qui se tient en ce moment au Botanique à Bruxelles, est une magnifique invitation au voyage à travers un mythe qui ne cesse de fasciner les artistes depuis des siècles et qui trouve aujourd’hui une résonance particulière dans notre village global où les langues et les cultures s’entrechoquent et se mêlent de manière inextricable. Le mythe de Babel convoque immanquablement l’image de la tour qui grimpe vers le ciel, il révèle l’inexorable volonté d’élévation de l’Homme et le vertige de sa chute prochaine. Nos mégalopoles modernes, pointées vers les nuages et hérissées de tours démesurées, de la Burj Khalifa à la Sky City ou à la Kingdom Tower, nous donnent l’illustration de notre obsession à défier l’infini, à remplacer la nature par des cathédrales de verre, de béton et d’acier et à recréer une utopie mesurable à l’aune de l’orgueil de ses bâtisseurs. Nous avons rencontré Régis Cotentin, responsable de la programmation contemporaine au Palais des Beaux-Arts de Lille et commissaire de l’exposition Babel. Il nous livre sa vision d’un mythe qui trouve de nombreux échos dans notre monde moderne.
L’Atelier Isabelle de Borchgrave, situé à Ixelles, accueille en ce moment un bel hommage au grand maître du tissu plissé, Mariano Fortuny y Madrazo. Cette exposition revisite l’univers si particulier du grand couturier et artiste, à travers la sensibilité d’une femme qui a pu y trouver un modèle inspirant pour sa propre création. En effet, l’œuvre d’Isabelle de Borchgrave est empreinte d’échos de l’œuvre du génial créateur : on y retrouve le même goût pour le raffinement, une attirance marquée de l’Orient et le choix du papier comme matière privilégiée.
Intéressante exposition que celle organisée par la Kunsthalle Műcsarnok de Budapest autour du mystérieux artiste de Street Art Banksy. Conçue autour du fameux documentaire Exit through the Gift Shop (sorti en 2010), qui reçut de nombreuses récompenses prestigieuses et fut présenté à la Berlinale, elle fait intervenir une quinzaine d’artistes de Street Art hongrois, plusieurs installations vidéos et se distingue par la qualité graphique des œuvres exposées. L’occasion de revenir sur le travail d’un des artistes fer de lance du mouvement Street Art.